Destinée à la restauration collective, notre nouvelle gamme de pâtes HVE est fabriquée à base de blés 100% français, issus d’exploitations certifiées Haute Valeur Environnemental de niveau 3.
A travers cette innovation faisant d’Alpina Savoie le premier acteur HVE sur le marché des pâtes sèches, nous souhaitons accompagner au mieux les Chefs et les professionnels de la restauration collective dans une gestion plus durable de leurs achats et dans l’atteinte des objectifs de la loi Egalim.
Les pâtes HVE Alpina Savoie s’inscrivent donc dans le projet de l’entreprise qui vise à mieux nourrir les hommes dans le respect de l’environnement.
Le label « Haute Valeur Environnementale » est un label d’état français, créé et encadré par le Ministère de l’Agriculture.
Cette certification environnementale qui s’applique aux exploitations agricoles, répond aux besoins de reconnaître et de valoriser celles qui sont engagées dans des démarches particulièrement respectueuses de l’environnement.
Initiée en 2011, c’est une démarche globale de préservation de l’environnement, à l’initiative des agriculteurs et accompagnée par l’ensemble des acteurs agricoles et agro-alimentaires.
Afin d’accompagner les professionnels de la restauration collective dans leurs achats pour un approvisionnement plus durable, le label HVE fait partie des labels de qualité reconnus dans les objectifs de la loi Egalim.
En effet, d’ici le 1er janvier 2022, les établissements de la restauration collective devront proposer au moins 50% de produits de qualité et durables, dont au moins 20% de produits biologiques. Sont considérés comme produits de qualité, ceux bénéficiant de signes officiels d’identification de la qualité et de l’origine (SIQO) ou ceux comportant des mentions valorisantes comme la « Haute Valeur Environnementale » (HVE).
Cette certification HVE garantit donc aux équipes des cuisines collectives de proposer des produits traçables et de qualité, cultivés dans le respect de l’environnement.
Investissements des agriculteurs en faveur de la biodiversité (diversification des espèces végétales cultivées, installation de ruches…)
La certification valorise les exploitants qui cherchent à limiter la dépendance aux intrants (utilisation de méthodes alternatives à la lutte chimique, enherbement…)
Adoption de pratiques pour minimiser l’impact de la fertilisation sur l’environnement (adapter les apports d’azote aux besoins de la culture, introduction de légumineuses dans les couverts végétaux…)
Limiter la dépendance et la consommation en eau (recours à du matériel permettant d’optimiser les apports en eau, engagement dans une démarche collective de la gestion de l’eau…)
